La preuve par 2

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[vc_row][vc_column width= »1/1″][vc_column_text]Hier, lors de la conférence de presse organisée par Responsage, une représentante du Crédit Agricole Assurances a parlé de la « libération progressive de la parole des aidants ». J’ai bien aimé ce thème : la libération progressive de la parole des aidants.

Et elle a raconté comment une aidante qui travaillait à Crédit Agricole Assurances avait « osé » aller voir son chef et lui avait expliqué qu’elle ne se sentait pas bien parce qu’elle arrivait toujours en retard, mais que ce retard était dû au fait qu’elle donnait le petit-déjeuner à sa mère Alzheimer tous les matins, et que cela prenait plus d’une heure pour donner ce petit-déjeuner.

Et l’intervenante de Crédit Agricole Assurances de poursuivre ainsi : cette aidante était embarrassée d’arriver en retard tous le séjour, embarrassée à la fois vis-à-vis de son chef et vis-à-vis de ses collègues. Le chef l’a écoutée attentivement, et tous les deux sont arrivés au « compromis » suivant : elle viendrait 2 jours par semaine à l’heure habituelle de 8h30, et les 3 autres jours, elle viendrait à 9h30. Et l’aidante a pu expliquer à sa mère que deux jours par semaine, ce n’est pas elle qui viendrait lui pour lui donner le petit-déjeuner.

La « culpabilité » de l’aidante aussi bien à l’égard de sa mère que de ses collègues et de son chef a disparu totalement, sa motivation a repris totalement, une belle histoire de dialogue adulte entre une salariée aidante et son chef.

Ce que j’appelle « La preuve par 2″ ! Robert S[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column width= »1/1″][vc_facebook type= »standard »][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column width= »1/1″][vc_tweetmeme type= »horizontal »][/vc_column][/vc_row]

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