les générations suivantes d’aidants pour lesquelles nous essuyons les plâtres aujourd’hui

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Voici ce qu’écrit une de mes amies aidantes qui s’occupe de son mari 24/24, 7/7, et à qui je racontais ce qui avait été dit à la conférence-débat du 6 octobre à la Journée nationale des aidants :

– « bien contente d’apprendre que la notion « aidant » commence à faire son chemin. je ne pense pas qu’à moi en disant cela, je pense surtout aux générations suivantes (pour lesquelles nous essuyons les plâtres aujourd’hui) qui se reconnaîtront plus facilement et sauront mettre en place des solutions plus rapidement que nous et se prémunir de l’épuisement ou de l’altération de leur état de santé.

Ce qui amène ma deuxième réflexion :

– je comprends parfaitement ce qu’a dit (cette intervenante) lorsqu’elle dit qu’on peut faire le choix d’être un aidant qui va bien. Oui oui oui, être aidant n’est pas qu’une succession de catastrophes ou de moments durs. Mais on en revient toujours à la même chose, un aidant qui se reconnait précocement mettra plus facilement en place des stratégies d’adaptation à la nouvelle situation, et ceci d’autant mieux qu’il a été correctement formé et informé.

Nous avons été plusieurs à constater que les retombées médiatiques augmentent d’année en années et c’est une bonne chose.

On en revient toujours à la même équation :

– Connaissance → reconnaissance=prévention bonne journée à toutes et tous ». C’est à lire et relire, car tout est dit dans le combat actuel des aidants à se faire reconnaître. GR

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